FRANCE 🇨🇵 (Services de L’État ) : se faire acheter par des délinquants ou encore piquer de l’argent après des saisies est devenu méthode courante de fonctionnement

Qu’on se rassure… C’est pareil chez nos amis les ‘Perfides’, pareil au DEA et pareil chez les gendarmes de la GRC-RCMP.

Même que des magistrats anglais et canadiens, n’ont pas hésité à valider des magouilles totalement illégales et de type mafieux, c’est ce que j’ai constaté.  Des malfaisants ! (J’ai les noms de ces ‘pourris’.)

A la DNRED, qui n’est pas en reste, pour mémoire, avait été muté, seulement muté, un cadre qui avait créé des aviseurs fictifs et, parmi d’autres magouilles, les plus de 300 kilos de haschich évaporés puis revendus suite à une opération dont j’étais le transporteur n’a permis que de consolider des fonds réservés ou des épargnes personnelles.

Ça n’a pas empêché la DNRED de me piquer 500.000 francs sur le million qu’elle me devait et malgré les directives du ministre Michel Charasse donnant consigne à J.D.Comolli,  le DG de la Douane française d’alors, de m’indemniser pour la vente à perte de mon M/Y Windarra ordonnée par le ministre lui-même,  j’attends encore le règlement (800, 000 francs de 1992.)

Elle est pas belle, la vie !

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Alors que ce rapport soit très attendu ne m’étonne guère !

Une commission d’enquête du Sénat va rendre publiques ses conclusions sur l’emprise du narcotrafic en France, ce mardi matin.

Depuis six mois, plusieurs dizaines de spécialistes ont été auditionnés. Des auditions qui permettent d’ores et déjà de prendre la mesure du pouvoir de corruption grandissant dans notre pays. Un phénomène qui prend « beaucoup d’ampleur » selon le président de cette commission, le sénateur socialiste Jérôme Durain.

Elus, policiers, magistrats… Sur le terrain, ils sont nombreux à être les témoins d’une corruption au sein même de leurs administrations, devenue l’arme première des trafiquants de drogue.

Dès son arrivée à la brigade des stups de Paris, Fabien Bilheran a compris où il mettait les pieds. A plusieurs reprises, cet ancien policier a vu ses collègues se faire acheter par des délinquants ou encore piquer de l’argent après des saisies de drogues.

« Une fois, un chef de groupe m’a tendu une enveloppe avec une centaine d’euros à l’intérieur. Sous-entendu, soit j’accepte l’enveloppe et je tolère les déviances du groupe, soit je refuse l’enveloppe et on me pousse vers la sortie parce qu’on ne peut pas me faire confiance« , raconte-t-il.

Lire et regarder

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Pour mémoire

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ESPAGNE 🇪🇸 (Algésiras) : les agents du SVA saisissent environ 25 tonnes de haschich dans un camion en provenance du Maroc en route pour le marché Saint Charles de Perpignan en France

C’est NARCODIARIO qui nous rapporte les faits

Au siècle dernier, à la fin des années 80, les lots de haschich était transportés par RO-RO dans des cargaisons de fruits avant d’être déchargés du côté de Valencia, puis rechargés vers l’Allemagne, l’Italie, la France et les pays nordiques parmi des livraisons de fruits et légumes.

Les tracteurs qui récupéraient les semis au port d’Algésiras étaient plaqués en France dans le 38.

A l’époque cela se passait sous la haute bienveillante ignorance de la ‘Policia’ et de la ‘Guardia civil’… GAL oblige !

Il fallait bien que les sicaires du GAL se payent puisque les fonds réservés, destinés à les « indemniser », restaient dans les poches des « Vera and Co ».

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ESPAGNE 🇪🇸 (Pontevedra – Galicia) : Víctor Méndez Sanguos a interviewé Rosa Ana Morán Martínez, la « Fiscal jefa antidroga »

Víctor Méndez Sanguos – Rosa Ana Morán Martínez

Rosa Ana Morán Martínez s’engage pour un changement de stratégie qui implique « plusieurs ministères, pas seulement ceux de la Santé et de l’Intérieur », pour lutter contre la drogue et annonce une ligne de travail pour lutter contre le blanchiment d’argent et saisir les avoirs des trafiquants de drogue.

L’année où l’Espagne dépasse la Belgique et les Pays-Bas dans les saisies de cocaïne, atteignant la troisième place mondiale, derrière la Colombie et l’Équateur, la procureure générale antidrogue, qui se trouvait à Vilagarcía (Pontevedra, Espagne) pour récupérer la « Nécora dorée » de la Fondation Galicienne « Contre le Trafic de Drogue », promeut un changement de stratégie.

Rosa Ana Morán s’engage à « rendre visible » la problématique drogue et à déclencher une action « globale » qui toucherait plusieurs ministères de manière transversale. Un travail considérable est déjà réalisé dans la lutte contre le trafic de drogue mais, cependant, les données indiquent que la situation empire.

Il y a plus de drogue et de violences que jamais…

Víctor Méndez SanguosQuelles sont les actions menées par le Parquet Antidrogue de la ‘Audiencia Nacional‘ ?

Rosa Ana Morán MartínezEh bien, j’essaie d’abord de lui donner de la visibilité. Il est important de voir et de savoir que les drogues restent un problème majeur. Il est nécessaire, et je viens de l’inclure dans le rapport dans la section recommandations, d’aborder le problème de manière globale. Et de manière intégrale également avec d’autres ministères. Le Plan National Médicaments, qui dépend de la Santé, la partie réduction de la demande et contrôle de l’offre, qui dépend du ministère de l’Intérieur, comme si tout se terminait par des arrestations et des saisies. Je crois que le système est inefficace, surtout jusqu’à ce que des condamnations soient obtenues et que tout ce que les gens ont gagné grâce à la drogue soit récupéré. L’important est de leur retirer leur argent pour qu’ils ne puissent pas continuer les mêmes activités.

Pour Rosa Ana Morán Martínez, les enquêtes qui pietinent dans des tribunaux « effondrés » conduisent à l’impunité.

Víctor Méndez SanguosRevenons à l’effondrement des tribunaux comme cause de l’absence de progrès…

Rosa Ana Morán MartínezCela me parait fondamental. Ceux qui peuvent en parler sont les forces et les organes de sécurité de l’État, qui se plaignent du manque de ressources, mais l’une de leurs principales plaintes est que les enquêtes sont très retardées, et cette lenteur conduit à l’appréciation de circonstances atténuantes, et ces retards excessifs participent à l’impunité.

Tout lire en castillan

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ANDALOUSIE 🇪🇸 (Mer d’Alboran) : Marbella, Estepona, Manilva, Marbella, Mijas et Sottogrande « accueillent » des « narcolanchas » pendant la tempête

C’est Narcodiario qui nous rapporte la situation actuelle au sud de l’Espagne. Jusqu’à huit « narco-lanchas » lestées de haschich ont été repérées ensemble sur la Costa del Sol et plusieurs autres en route vers le sud-est de la péninsule, mais les autorités manquent de moyens pour faire face à cette ‘armada’

Du côté de Manilva, la zone de la province de Malaga la plus proche du Campo de Gibraltar, des ‘narcolanchas’ en attente d’une amélioration des conditions météorologiques mais aussi dans d’autres points proches de Marbella et des environs de Mijas.

Pendant ce temps, les forces de sécurité continuent de mener des opérations avec plus ou moins de succès qui aboutissent parfois à des arrestations et à des saisies de bateaux.

La capacité du SVA, de la Guardia et de la Policia est cependant loin d’être suffisante pour les arrêter tous !

The show must go on !

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EUROPE 🇪🇺 (Lisbonne 🇵🇹 ) : c’est le MAOC-N qui rencarde les services anti-stups dont la DNRED et l’OFAST

Des douaniers, des militaires, des policiers et des analystes avec la DEA…. et sans aucun doute un expert en « communication positive » sont basés à Lisbonne

Sous-marins, petites embarcations ou encore navire transportant du bétail… le trafic de stupéfiants entre l’Amérique latine et l’Europe bat tous les records.

Dans leur centre ultra-sécurisé à Lisbonne, des fonctionnaires venus de sept pays européens tentent de déjouer les stratagèmes maritimes sans cesse réinventés des narcos.

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ANDALOUSIE 🇪🇸 (Barbate) : mourir pour du cannabis en 2024

Deux agents de la ‘Guardia Civil’ tués et un autre blessé.

Les premières informations indiquent que les défunts faisaient partie de l’équipe des activités sous-marines de la « Benemerita », qui avait été mobilisée en raison de la présence importante des trafiquants dans l’enclave

L’État espagnol est aujourd’hui confronté dans cette région à l’importante acceptation sociale de l’activité des trafiquants de drogue et du soutien des « citoyens » de la zone.

À plusieurs reprises et très récemment, ce sont les agents du SVA (Surveillance douanière) qui ont subi des actions similaires dans la même zone du Campo de Gibraltar.

Un question se pose: bien que les enquêtes se poursuivent pour clarifier ce qui s’est passé surtout en ce qui concerne le dispositif qui a conduit un seul bateau de six mètres pour tenter d’affronter sept ‘narcolanchas’ très puissantes. Etait-ce prudent d’envoyer une si petite équipe dans ces conditions ? Assurément non et, le « non respect » aujourd’hui plus qu’hier, des « forces de l’ordre » devrait inciter les hiérarchies à plus de prudence.

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FRANCE 🇫🇷 (Douane française) : Jean Michel Pillon aurait-il profité de sa position pour monter des dossiers bidons

Jean-Michel Pillon, ancien directeur des douanes de Perpignan et directeur régional des douanes d’Occitanie basé à Toulouse (« renouvelé dans son emploi jusqu’au 30 avril 2024 » par arrêté du 17 juin 2022 publié au Journal officiel) a-t-il utilisé ses fonctions, et son accès à un précieux fichier d’évadés fiscaux, la liste Falciani (du nom d’un lanceur d’alerte employé par HSBC à Genève, et contenant 9 000 noms d’évadés fiscaux fournis aux services fiscaux français en 2008) pour aider le gouvernement espagnol à affaiblir le mouvement indépendantiste catalan, dans son « opération Catalogne », lancée en septembre 2012 ?

Deux médias catalans (la radio RAC1 et le quotidien La Vanguardia) l’affirment après une enquête menée conjointement. Comme le précise La Dépêche du Midi, le parquet espagnol enquête désormais sur cette sombre affaire franco-espagnole.

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DNRED (Direction Nationale du Renseignement et des Enquêtes Douanières): lorsque Jean Michel Pillon « traitait » directement avec « le Chacal »

ESPAGNE 🇪🇸 : l’ « espion français » au service de l’Espagne n’était autre que Jean Michel Pillon, l’ex-directeur des douanes d’Occitanie

Contacté par le commissaire Enrique Garcia Castano, qu’il a connu lorsqu’il a ‘travaillé’ contre le groupe terroriste basque ETA, avec la participation du GAL, Jean Michel Pillon a élaboré un dossier de 31 pages sur Xavier Trias et l’a remis au commissaire espagnol.

Le document établit l’existence d’un compte en Suisse estimé à 13 millions d’euros.

Problème : le document est falsifié.

Le maire de Barcelone, proche de Carles Puigdemont n’a pas de compte en Suisse.

Surnommé « l’espion français »

Le dossier et les fausses preuves sont communiqués à la presse sans que personne ne prenne le soin de vérifier la véracité des informations. Le journal conservateur El Mundo, très hostile au nationalisme catalan, publie les fausses révélations à sa une, en octobre 2014, à quelques semaines des élections municipales que Xavier Trias perdra pour quelques poignées de votes.

Mais le travail du directeur de la douane ne s’arrête pas là. Toujours selon La Vanguardia, il a fait croire dans un autre document que le fils de Jordi Pujol, président de la Catalogne pendant 23 ans, apparaissait dans la liste Falciani, qui réunissait les noms de milliers de titulaires de comptes en Suisse dans la banque HSBC. Celui que la presse catalane appelle désormais « l’espion français » a été chargé d’autres missions sans que l’on en connaisse les résultats.

Selon le journal barcelonais, Jean Michel Pillon aurait reçu pour ces différents travaux autour de 50 000 euros pris sur l’enveloppe des fonds réservés du ministère espagnol de l’intérieur. Si, à l’époque, Xavier Trias avait mis quelques mois à prouver qu’il n’avait pas de compte en Suisse, c’est la première fois qu’on apprend qu’un étranger a participé à cette sombre opération.

SOURCE 1

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ESPAGNE 🇪🇸 (Îles Canaries) : belle saisie de coke en collaboration avec les autorités marocaines

La police nationale espagnole a annoncé, mercredi, la saisie, grâce aux informations de la Direction générale de la surveillance du territoire (DGST) du Maroc, de 1.564,5 kilos de cocaïne transportés dans 64 paquets.

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CANARIES 🇪🇸 (Sud de Gran Canaria) un Zodiac intercepté avec 900 kilos de coke

Une nouvelle opération de la Guardia Civil et la Policia Nacional a permis la saisie de 900 kilos de cocaïne autour des Îles Canaries. Trois Marocains sans papiers ont été arrêtés à bord de l’embarcation et un deuxième Zodiac a réussi à faire demi-tour pour échapper aux force de l’ordre.

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NARCOTRAFICO (Canarias 🇪🇸 ) : cerca de la isla de El Hierro, con el Condor del Servicio de Vigilancia, primera narcolancha interceptada con cocaína de 2024

NARCODIARIO nos informa que una operación conjunta de las autoridades españolas sirvió para interceptar una « goma » con 500 kilos de cocaína cerca de la isla de El Hierro

Los cuatro tripulantes se entregaron antes de ser trasladados al buque de Vigilancia Aduanera, que los trasladó al puerto de Las Palmas de Gran Canaria.

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ESPAGNE 🇪🇸 (opération « Stups Iron 31 ») : la Guardia Civil et la Gendarmerie française ont arrêté 22 personnes spécialisées dans le trafic international de cocaïne, de marijuana et de cannabis

Une organisation criminelle qui exportait de la marijuana et de la cocaïne de Catalogne vers la France a été démantelée, annonce mercredi 3 janvier 2024 la justice espagnole. Le groupe criminel vendait la drogue via l’application de messagerie Telegram et effectuait ses livraisons par les services de colis postaux. Les paiements étaient effectués en crypto-monnaies.

Selon les enquêteurs, Barcelone était au cœur de toutes les opérations de trafic. La marchandise était achetée en Catalogne et ensuite distribuée en France.

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PÉNINSULE IBÉRIQUE 🇪🇸 🇵🇹 : la Guerre du Haschich par Víctor Méndez Sanguos

La production est réalisée par Imaco (Imagen et Communications de Pontevedra) et Narcodiario, média spécialisé dans l’information sur le trafic de drogue en Espagne.

La Policia nacional, la Guardia civil, les Mossos d’Esquadra et le SVA (douanes) ont mis à disposition des véhicules terrestres, officiels et camouflés, des bateaux et des hélicoptères à partir desquels une partie des enregistrements est réalisée.

Au Campo de Gibraltar, dans le Delta de l’Èbre, sur la Costa del Sol, en Galice, au Maroc et au Portugal. Avec les plus hauts responsables policiers, judiciaires et sociaux de la lutte contre la drogue.

La première est prévue le mardi 16 janvier sur Movistar Plus+.

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FRANCE 🇫🇷 (Toulouse) : 10 kg de cocaïne, 65 kg de cannabis, des sommes 170 000 euros et 60 000 euros d’objets de luxe ont été saisis jeudi 14 décembre 2023

Vaste opération à Toulouse (Haute-Garonne) et ses environs

Tout a commencé avec l’interception d’une voiture transportant 8,5 kg de cocaïne à la frontière entre la France et l’Espagne. C’est à partir de cette saisie qu’une vaste opération a été lancée principalement dans la Ville rose et dans son agglomération.

170 000 € en espèces ou sur les comptes bancaires des suspects ont été saisis, sans compter plus de 60 000 € d’objets de luxe, tels que de la maroquinerie, des bijoux et des montres.

Des femmes dans des rôles clés

L’équipe impliquée dans ce trafic, caractérisée par une organisation très structurée, opérait au-delà de Toulouse, desservant des zones telles que le Gers, le Tarn, le Tarn-et-Garonne et l’Ariège. Le trafic était coordonné entre Barcelone, où quatre individus ont été appréhendés par la ‘Guardia Civil’, et Toulouse, toujours selon le journal local.

Les femmes semblaient jouer un rôle important dans ce réseau. Elles occupaient des postes clés, notamment dans le transport de la drogue, sûrement pour des raisons de discrétion.

source

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ESPAÑA 🇪🇸 : las mafias del narcotráfico de los Balcanes ya mandan en Galicia

El poderoso clan que domina el negocio de la cocaína en Europa, envía los mayores alijos y busca en el narco gallego su principal activo, el transporte de cargamentos

Varios agentes de policía muestran el alijo incautado en un operativo contra el tráfico de drogas durante una comparecencia en el Complejo Policial de Canillas, este martes en Madrid.

Desde 2017, las mafias del Este de Europa (albaneses, serbios y croatas) son una amenaza global y un quebradero de cabeza para las unidades antidroga de países como España, punto estratégico para la llegada y distribución de cocaína en el mercado europeo. Si desde la década de los ochenta los traficantes colombianos tenían la exclusiva del negocio como dueños de la patente en la fabricación del alcaloide que producían en sus laboratorios y que enviaban al viejo continente a través de Galicia, el Clan de los Balcanes es ahora el paradigma del crimen organizado.

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ESPAGNE 🇪🇸 (SVA): les fêtes approchent, 11 tonnes de cocaïne saisies en une semaine

La drogue saisie provenait de Colombie via l’Équateur et a été retrouvée dans des conteneurs arrivés dans les ports de Vigo (Galice, nord-ouest), et de Valence (est).

La première opération a permis à la police de saisir, à Vigo, 7,5 tonnes de cocaïne dissimulée dans des filets de thon congelés. Il s’agit de la plus grosse saisie jamais effectuée en Galice, une région qui a longtemps servi de porte d’entrée en Europe à la cocaïne provenant d’Amérique Latine.

La deuxième opération, à Valence, a permis de mettre la main sur 3,4 tonnes de cocaïne cachée dans des doubles-fonds de conteneurs maritimes. Vingt personnes ont été arrêtées dans le cadre de ces deux opérations entre fin novembre et début décembre. La majorité sont des Albanais mais figurent aussi parmi elles un Colombien, un Dominicain et plusieurs Espagnols, dont un entrepreneur galicien qui s’est servi de son entreprise d’importation de poisson pour organiser le transport de la drogue.

«Cartel des Balkans»

«Les deux opérations n’ont rien à voir l’une avec l’autre. Le seul lien entre elles réside dans le fait que nous pensons que les organisations qui sont derrière sont d’origine albanaise», a déclaré Antonio Martínez Duarte

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ESPAGNE 🇪🇸 (Coke en Stock – N°408) : des avions, des hélicos,des bateaux, des français et … des stups

Lors du précédent article où était abordé le cas de Patrick Postillon, ce notaire niçois tombé dans le trafic de drogue, à l’insu de son plein gré, par l’intermédiaire de son pilote truand, membre d’un gang de chevronnés trafiquant du cannabis -et de cocaïne- entre le Maroc et la France, il est apparu un autre cas d’espèce, un autre français…

A lire dans

On pourra lire que le 27 novembre 2005, un Cessna T210-M Centurion se retrouve poursuivi par un hélicoptère du SVA (Servicio de la Vigilancia Aduanera) le EC-IGM , un ‘Dauphin’ rapide) .

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OCÉAN ATLANTIQUE (SVA – Service Espagnol 🇪🇸 de Surveillance Douanière) : le ‘PETREL’ du SVA arraisonne une embarcation battant pavillon polonais avec environ 2 tonnes 500 de cocaïne

Le Petrel

Dans le cadre d’une opération avec la ‘Policia’ et la ‘Guardia civil’, les marins-douaniers du PETREL ont intercepté un bateau à cabine semi-rigide, dénommé « SRC 1250 », à 400 milles des Îles Canaries, d’une longueur de 12,5 mètres. A bord, une cargaison de coke répartie en 86 balles, soit environ 2500 kilos selon les premières estimations.

L’arraisonnement par le patrouilleur de surveillance douanière « Petrel » s’est effectué dans un contexte de conditions météorologiques difficiles.

Lors de l’opération, les deux membres d’équipage, de nationalité française, ont été interpellés.

Collaboration internationale

L’opération, fruit de la collaboration internationale à travers le Centre d’Analyse contre le Trafic Maritime de Drogue dans l’Atlantique (MAOC) et coordonnée par le Centre de Renseignement sur le Terrorisme et le Crime Organisé (CITCO) avec La DEA et la NCA

A l’arrivée au port de Tenerife

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FRANCE 🇫🇷 (DNRED et DG de la Douane française) : faut-il attendre qu’ils partent en retraite pour qu’ils ne soient plus des lâches, des poltrons et surtout des « sans honneurs »

C’est la journaliste Claire Andrieux qui cite le cas Fievet dans son livre bien documenté sur le narcotrafic et sa guerre de l’ombre

Le cas Fiévet
 
En droit administratif, les informateurs sont considérés comme des « collaborateurs occasionnels de justice », selon la qualification du Conseil d’Etat. A ce titre, un indic peut théoriquement bénéficier de la protection fonctionnelle, au même titre qu’un agent public. L’administration dont il dépend le protège donc de condamnations civiles ou pénales pour des faits commis en raison de ses fonctions, sauf, comme pour n’importe quel agent public, s’il a commis « une faute personnelle », «  détachable du service ». Jusqu’ici, les cas dont la justice a eu à débattre ont tous été considérés comme des fautes personnelles.
 
En 2017, un arrêt du Conseil d’Etat a définitivement scellé le sort d’un célèbre aviseur de la douane, Marc Fiévet, utilisé comme un agent infiltré à de nombreuses reprises. Tout en reconnaissant qu’il avait permis l’arrestation de plusieurs trafiquants ainsi que la saisie de quantités importantes de produits stupéfiants et des moyens de locomotion ayant servi à leurs transports, la justice estime que la France n’a pas à l’indemniser pour ses années de prison. Marc Fiévet avait été condamné, en 1996 en Grande-Bretagne à quatre ans d’emprisonnement du chef de « conspiration dans le but de faire entrer du cannabis sur le territoire anglais » et, en 1997 au Canada, à la réclusion criminelle à perpétuité pour « complot d’importation de stupéfiants » après avoir plaidé coupable. Il avait été transféré en France en 1998 où il est resté en prison, jusqu’en 2005.
 
Pour cet aviseur de haut niveau, le trafic dont il a été accusé n’est que la résultante de son travail aux services des douanes.

En 2008, Marc Fiévet demande une indemnisation de 91 million d’euros pour les préjudices subis. La demande et tous ses recours sont rejetés. La décision définitive tombe en 2017. Le Conseil d’Etat estime que si l’implication croissante de l’aviseur dans un réseau de trafiquants de drogue a été « encouragée à l’origine par l’administration des douanes », les faits pour lesquels il avait été condamné étaient « dépourvus de tout lien avec les fonctions exercées en sa qualité d’informateur de l’administration des douanes et étaient donc détachables du service ».

La cour déduit donc que les condamnations de Marc Fiévet et ses années de prison sont la cause « d’une faute personnelle » et que l’administration n’a pas à lui accorder le bénéfice de la protection fonctionnelle.

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Oublier les engagements, oublier les promesses données, oublier l’honneur élémentaire !

Un homme, à lui seul, coche toutes les cases,

c’est l’énarque IGF

François Auvigne,

DNRED 🇫🇷 (Douane française): retour sur la visite à l’inspecteur des finances François Auvigne

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ESPAGNE 🇪🇸 (opération Sonder) : les agents de la Guardia Civil saisissent 374 kilos de coke du coté d’Huelva

C’est Narcodiario qui nous informe qu’en plus de la saisie de 374 kilos de cocaïne, trois personnes ont été arrêtées.

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