Les NARCONEWS par Marc Fievet, AKA NS 55 DNRED, devenu spécialiste du narcotrafic international, en participant comme "agent infiltré" à de nombreuses opérations organisées par la DNRED (Douane Française) avec le "HM Custom Excise", le "SVA Hacienda" de España, la "Alfandega Portuguesa", la "Douane Néerlandaise", la "Douane Allemande", la "Guardia di Finanza", la "RCMP-GRC" et la "DEA" –——————————————————————————————————————————————————————————————————————————————————————————————————— CONTACT par email: marcfievet@live.fr ou WhatsApp: 33 (0) 6 84 30 31 81 —————————————————————————————————————————————————————————————————————————————————————————————————————————————
Que vous soyez député, douanier, élu régional, enseignant, gendarme, gardien d’immeuble, policier, magistrat, maire, maître de conférence, médecin, militaire, sénateur… agent secret ou simple citoyen, tous types de documents inédits, toutes informations « sensibles » que vous pourriez détenir sur le narcotrafic, le blanchiment, la corruption et la concussion intéressent « Aviseur international ».
Les faits sont têtus. Alors que nous laissions entendre précédemment que le conflit qui frappe le Mali depuis déjà de nombreux mois pourrait encore une fois avoir de forts relents de course effrénée pour se procurer hydrocarbures et ressources minières dont le pays regorge, des informations semblent confirmer nos dires. Avec un nouvel enjeu : […]
AFFAIRE BOULIN Pourquoi je suis passé de la version officielle du SUICIDE à celle de l’ASSASSINAT. Par Jean Pierre Courtel En 1979 j’étais inspecteur au groupe criminel du S.R.P.J. de Versailles. Le 30 octobre 1979, mon groupe étant de permanence, l’inspecteur Divisionnaire Pierre Ramat, est passé me chercher à mon domicile, puis nous nous sommes […]
Une enquête préliminaire avait été confiée il y a plusieurs semaines à l’Office central pour la répression du trafic illégal de stupéfiants (Octris)
Elle a connu un rebondissement vendredi avec l’interpellation, à 3h15 à Muret et Roques-sur-Garonne (Haute-Garonne) de trois hommes dont un âgé de près de 70 ans, qui revenaient d’Espagne par l’A 64.
L’un conduisait une voiture ouvreuse tandis que les deux autres pilotaient des « go-fast » repérés , suivis et interceptés sur la Pyrénéenne. Les deux derniers véhicules contenaient plusieurs centaines de kilos de résine de cannabis, 400 au total, conditionnés en savonnette et stockés dans des caches aménagées dans le plancher des véhicules.
Ce sont les policiers de l’antenne bordelaise de l’Octris de la division interrégionale de la police judiciaire de Bordeaux qui sont chargés des auditions qui permettront peut-être d’en savoir plus sur cette organisation qui sévissait en région parisienne.
Les enquêteurs de la police judiciaire ont réalisé un vrai gros coup hier matin, au sud de Toulouse en interceptant trois véhicules à Muret et Roques. Le convoi, surveillé de près, transportait une grosse quantité de drogue. «Plusieurs quintaux de cannabis», lâche un policier. La cargaison, qui devait encore être officiellement pesée hier après-midi, devrait approcher, ou dépasser, les 400 kg de résine.
Une grosse prise pour les policiers qui ont travaillé entre spécialistes. L’enquête a en effet été menée par les hommes de l’OCTRIS, l’office central pour la répression du trafic illicite des stupéfiants basé au siège de la police judiciaire, à Nanterre, leurs collègues de l’antenne régional de l’OCTRIS basée à Bordeaux et qui dépendent de la direction interrégionale (DIPJ) et enfin les enquêteurs du groupe stup, et les hommes de la BRI de la police judiciaire toulousaine (SRPJ).
Lors de l’interception du convoi, trois individus ont également été arrêtés. Des armes, des téléphones ont été saisis. Hier soir, les enquêteurs sont restés très discrets. Cette prise qui ne doit rien au hasard devrait logiquement déboucher sur d’autres arrestations, a priori loin de Toulouse. En effet, la drogue n’était pas destinée à la capitale régionale. Là encore, les policiers sont restés discrets sur la destination officielle de la cargaison. «Plus haut», a lâché un responsable. Paris et sa région ? Probable.
Cette saisie intervient treize jours après une autre opération menée par l’antenne OCTRIS de Bordeaux, avec les policiers de la direction interrégionale. Elle avait permis de saisir 468 kg de résine de cannabis à un péage landais de l’A 63, l’axe Espagne-Bordeaux. Cette nuit-là, un homme qui circulait tranquillement dans une Renault Kangoo avait été surpris par les policiers. Le «go slow» n’est jamais arrivé en banlieue bordelaise. Cette réussite montre, comme l’interception d’hier matin, l’intérêt d’une collaboration étroite entre services de la police judiciaire et le poids apportés dans les investigations par les spécialistes de l’OCTRIS, qu’ils soient basés à Nanterre ou à Bordeaux.
Les trois suspects arrêtés hier matin sont partis pour 96 heures de garde à vue. Il est probable que la juridiction régionale spécialisée de Bordeaux ouvre en début de semaine prochaine une information judiciaire pour «importation, transport, achat de marchandise prohibée».
Au moins 400 kilos de drogue interceptés ce vendredi dans un Go Fast. La police a coupé la route de ce convoi transportant de la drogue sur l’A 64, entre Muret et Roques-sur-Garonne. Une opération menée par la brigade parisienne de lutte anti-drogue aidée par la police judiciaire toulousaine. Trois hommes ont été placés en garde à vue au commissariat de Toulouse. A priori ces individus ne sont pas de la région.